Les caractéristiques de l'abeille domestique.


Il existe plus de 20 000 espèces d’abeilles sur l’ensemble de la planète dont environ 2 000 en Europe et 1 000 en France. L’espèce la plus connue en Europe est l’abeille domestique (Apis mellifera) bien qu’il en existe une multitude : abeilles sauvages, solitaires, sociales, etc. L’abeille domestique se compose elle-même de 28 sous-espèces réparties en groupes en fonction de leurs évolutions et de leurs répartitions géographiques.

 

Habitat et comportement

L’abeille domestique est originaire d’Europe et est présente sur tous les continents sauf en Antarctique. Contrairement aux autres espèces d’abeilles, elle est élevée dans des ruches et ce, à grande échelle dans le milieu apicole afin de produire du miel ainsi que pour la pollinisation. Elle peut aussi vivre à l’état sauvage dans des arbres creux, des combles, des cavités murales ou encore des cheminées.

L’abeille a une préférence pour les climats tempérés voire chauds. Sa température corporelle interne doit être de 35°C pour qu’elle puisse voler et la température extérieure ne doit pas être inférieure à 10°C. Elle vit à un rythme plus ralenti lorsque la température extérieure dépasse les 38°C, bien qu’elle puisse supporter sur de courtes périodes des températures s’élevant jusqu’à 50°C. La température idéale de l’air pour sa nourriture se situe entre 22 et 25°C.

 

Alimentation

Apis mellifra se nourrit principalement de gelée royale, de miel ou de sucre, de pollen, de nectar et d’eau, bien que son alimentation varie surtout en fonction de son statut au sein de la colonie.

Il n’y a que durant les trois premiers jours de leur stade larvaire que reines et ouvrières sont nourries de la même manière avec de la gelée royale.  Par la suite, les reines vont continuer de se nourrir exclusivement de gelée royale et de miel tandis que les ouvrières s’alimenteront également de pollen et de nectar. Si une larve ne s’alimente que de gelée royale tout au long de son développement, elle pourra devenir une reine. La nourriture de la reine est fabriquée par les ouvrières bien que celle-ci soit capable de subvenir à ses besoins alimentaires elle-même ou via un apiculteur.

La présence de plantes mellifères à proximité de la ruche participe à une croissance plus rapide des abeilles. Ces dernières ont, en effet, besoin d’une grande quantité de pollen et de nectar (environ 20kg et 140 kg respectivement) chaque saison.

 

Reproduction

L’abeille domestique est dite « eusociale », c’est-à-dire qu’elle créée ses colonies grâce à  seulement une femelle féconde (la « reine ») et à quelques mâles fertiles appelés « faux-bourdons ». Toutes les autres abeilles dites « ouvrières » sont stériles.

Une reine peut s’accoupler plusieurs fois et plusieurs jours d’affilée jusqu’à ce que sa spermathèque soit pleine. Le mâle, lui, peut mourir après un acte de reproduction si son abdomen est arraché durant une fécondité en plein vol.

La période de fécondité de la reine commence à la mi-fin de l’hiver. Durant toute la saison, elle consacre son temps à la ponte des œufs.  Elle peut produire deux types d’œufs : les œufs fécondés d’où sortent les abeilles femelles (reines et ouvrières) et les œufs non-fécondés qui donnent naissance aux abeilles mâles (faux bourdons).

En pleine saison et au pic de sa fertilité, elle est capable de pondre plus de 2 500 œufs par jour.

 

Cycle de vie

Le cycle de vie des abeilles domestiques varie selon qu’il s’agit d’une reine, d’une ouvrière ou d’un faux bourdon.

1. La ponte et l’éclosion des œufs

Un œuf a l’aspect d’un bâtonnet blanc et mesure environ 1,5 mm de long et 0,4 mm de diamètre. Il va être déposé par la reine dans une cellule préparée par les ouvrières au sein des alvéoles.

2. Le stade larvaire

L’œuf éclot au bout de trois jours et donne naissance à une larve. Celle-ci va être nourrie de gelée royale durant les premiers jours par les abeilles ouvrières dites « nourrices », avant de passer à une alimentation à base de miel et de pollen. Ce stade dure environ 5 jours s’il s’agit d’une reine et 8 jours si c’est une ouvrière.

3. Le stade nymphal

Les larves se tissent un cocon à l’intérieur de la cellule, que l’on nomme l’« opercule ». Ce stade nymphal va durer 4 à 5 jours pour les reines, 8 jours pour les ouvrières et 11 jours pour les mâles. C’est durant cette période que leurs yeux, leurs pattes et leurs ailes se développent.

4. L’âge adulte

Au bout d’environ 16 jours, l’abeille est adulte et sort de l’alvéole pour aller vivre et travailler avec les autres abeilles.

On estime qu’une ruche en bonne santé est composée de 40 000 à 80 000 abeilles durant la saison. Son nombre se voit diminuer en hiver (avec la mort des faux bourdons et de certaines ouvrières).

Vie sociale

L’abeille européenne a une vie sociale particulièrement hiérarchisée. Elle vit au sein d’une communauté où les rôles de chacune des abeilles de la ruche sont définis.

La reine

Cette communauté est placée sous l’autorité d’une seule et unique reine dominante qui va réguler les activités de la colonie grâce à ses phéromones. C’est aussi elle qui va donner naissance à toutes les abeilles de la ruche puisqu’elle est la seule fertile. Théoriquement, elle peut vivre 4 à 5 ans mais dans les faits, elle n’assure sa fonction que durant un ou deux ans. Il est possible que deux reines émergent simultanément. Dans ce cas, elles vont combattre jusqu’à la mort pour affirmer leur contrôle sur les ouvrières. Périodiquement, une colonie peut décider qu’une nouvelle reine est nécessaire et ce, pour plusieurs raisons :

  • La mort de la reine qui entraine une situation de « supersédure d’urgence » qui va contraindre les ouvrières à trouver des œufs ou des larves qui pourront devenir potentiellement des reines.
  • Le vieillissement et le manque de spermatozoïdes de la reine engendre des problèmes de communication (peu de phéromones) qui vont amener les ouvrières à la remplacer et donc à la tuer.
  • Le manque de place au sein de la ruche pour les nouveaux œufs qui va déclencher un essaimage. Dans ce cas, la reine va perdre la moitié de ses ouvrières qui vont partir fonder une autre colonie et en conserver l’autre moitié pour continuer l’ancienne.

Les abeilles ouvrières

On distingue deux types d’abeilles ouvrières :

  • Les ouvrières d’été, qui ne vivent que 5 à 6 semaines et qui vont travailler dans la ruche au départ et butiner à l’extérieur ensuite ;
  • Les ouvrières d’hiver qui vivent environ de 4 à 6 mois et qui ont pour mission de protéger la reine et la colonie, de maintenir la température de la ruche à un niveau élevé et de préparer l’arrivée des nouvelles générations en février.

Chacune d’entre elles vont occuper plusieurs fonctions au cours de leur vie comme celles de :

  • Nettoyeuses : nettoyage de leurs cellules et de celles vides
  • Nourrices : préparation des cellules pour les nouvelles pontes
  • Magasinières : création et conservation du miel au sein de la ruche
  • Cirières : construction des cellules
  • Architectes : construction des rayons et des alvéoles de la ruche pour stocker la nourriture et permettre à la reine de pondre.
  • Ventileuses : régulation de la température de la ruche grâce à la recherche d’eau ou à des battements d’ailes
  • Gardiennes : protection de la ruche contre les prédateurs (frelons, guêpes) et les voleurs (autres abeilles n’appartenant pas à la ruche, insectes divers)
  • Butineuses : approvisionnement de la ruche en nourriture (nectar, miel, pollen, eau)

Les faux-bourdons

Les faux-bourdons représentent les mâles de la colonie d’abeilles. Ils naissent au printemps et meurent en automne. Ils vont atteindre leur maturité sexuelle au bout de 12 jours. Leur espérance de vie est environ de 2 mois. Leur mission principale est la fécondation des jeunes reines vierges. En général, ils ne participent pas aux travaux de la ruche. Ils peuvent être porteurs de maladies et de parasites car ils peuvent être acceptés dans n’importe quelle ruche. Les faux-bourdons ne peuvent survivre sans reine et ouvrières.

Communication

Les abeilles possèdent plusieurs moyens de communication qui vont guider pratiquement tous leurs comportements.

1. La danse des abeilles

Le premier moyen de communication qu’elles utilisent est celui que l’on nomme la « danse des abeilles ». Extrêmement précise, cette danse est réalisée par l’abeille éclaireuse qui revient à la ruche avant les autres et qui va les informer sur :

  • La nature de la nourriture identifiable grâce à l’odeur de l’abeille qui s’y est frottée
  • La quantité de nourriture qui est proportionnelle au frétillement de l’éclaireuse (plus il est important, plus la quantité est importante)
  • La distance de la nourriture par rapport à la ruche qui est fonction de la vitesse à laquelle l’abeille tourne (plus la danse est rapide, plus la source est proche).
  • La direction de la nourriture indiquée par l’inclinaison de la danse et qui est réalisée grâce à sa position par rapport au soleil.

Grâce à leurs perceptions tactiles et olfactives, les autres abeilles vont venir se coller à l’éclaireuse afin de décoder toutes les informations contenues dans ses mouvements.

On distingue deux types de danses :

  • La « danse en rond » où l’abeille décrit des cercles. Cela signifie que la nourriture se trouve à moins de 100 mètres (ici la danseuse ne transmet pas d’informations de direction) ;
  • La « danse frétillante » où l’abeille décrit un huit, indiquant la distance et la direction de la source de nourriture par rapport au soleil. Cela s’effectue dans le cas où la nourriture se trouve à plus de 100 mètres.

Il existe aussi une danse appelée « danse du domicile ». Dans ce cas, les éclaireuses se mettent à danser lors de l’essaimage lorsqu’elles ont trouvé un lieu propice à l’installation de la colonie. Si ce dernier satisfait les autres abeilles, elles vont également danser. Si la danse dure longtemps, cela signifie que le lieu découvert correspond de manière optimale aux critères d’un bon nid (isolation thermique, protection à l’humidité et au vent, volume significatif de la cavité, etc).

2. Les phéromones

Le deuxième moyen de communication des abeilles sont les phéromones qui constituent de véritables messages pouvant être émis par l’ensemble des membres de la ruche. Ils vont leur permettre de guider leurs comportements d’accouplement, de défense, d’alarme, d’orientation, de production alimentaire, de reconnaissance des familles et d’intégration des activités des colonies.

Les phéromones de la reine jouent un rôle important dans la cohésion de la ruche tout comme ceux des ouvrières qui visent à regrouper la colonie après avoir été dérangée ou lors de l’essaimage.

 

Espèce menacée

L’abeille domestique est une espèce menacée. En effet, depuis une dizaine d’années, les populations d’abeilles disparaissent sur l’ensemble du globe et ce, dans des proportions allant de 50 à 90% en fonction des zones géographiques. Même si les causes de l’effondrement des colonies d’abeilles ne sont pas encore totalement établies, il est possible d’en dresser une liste non-exhaustive :

  • L’utilisation soutenue de produits phytosanitaires dans le milieu agricole qui vont affaiblir voire tuer les abeilles.
  • La pollution de manière générale qui a engendré une réduction de la durée de vie des reines passant de quatre ans à moins de deux ans.
  • La transmission de maladies contagieuses (nosémose, virus israélien) et/ou de parasites (varroa destructor, aethina tumida, acarapis woodi, etc) qui vont infecter voire entrainer la mort des abeilles.
  • L’arrivée de nouveaux prédateurs, d’espèces exotiques envahissantes comme le frelon asiatique ou encore de sous-espèces d’abeilles peu adaptés à notre environnement vont fragiliser les abeilles domestiques.
  • Une compétition avec les abeilles sauvages pour l’espace et la nourriture (pollen, nectar).

L’abeille est élément indispensable pour l’écosystème ainsi que dans le processus de pollinisation puisqu’elle permet une production optimale de différents fruits et légumes (amandiers, fraisiers, poiriers, etc). Sans elle, le milieu agricole et plus globalement, nos ressources naturelles sont en danger.

Comment reconnaître l'abeille domestique ?


Identification physique

De manière générale, l’abeille européenne est brune tirant sur le jaune et l’orange-rouge sur ses segments abdominaux. Son thorax est poilu et de couleur jaune brunâtre. Ses pattes lui servent à recueillir le pollen grâce aux longs poils qui les composent et forment un panier. Elle possède des mandibules ainsi qu’un tuyau d’aspiration.

La reine est plus grande que les autres abeilles de sa colonie. Elle mesure de 15 à 20 mm de long alors que les ouvrières ne mesurent qu’entre 11 et 13 mm. On peut également la reconnaître grâce à son abdomen et à ses organes génitaux qui sont plus développés.

Les mâles ne possèdent pas de dard. Ils ont une taille supérieure et des yeux plus gros que les ouvrières. Ils sont dépourvus de corbeille à pollen et il leur est impossible de recueillir du nectar de fleurs.

 

Comparaison avec la guêpe commune et le bourdon

Il est facile de distinguer une guêpe d’une abeille de par leur niveau de pilosité, de leur taille ainsi que de leur couleur. En effet, une abeille possède un thorax très velu, mesure entre 11 et 13 mm et possède un abdomen rayé noir, brun ou jaune foncé. A l’inverse, une guêpe est dotée d’une faible pilosité, a une taille très marquée puisque l’on distingue clairement son thorax de son abdomen, mesure entre 15 et 18 mm et possède un abdomen rayé noir et jaune vif. On peut également identifier chacune des espèces grâce à la forme de leur nid. Un nid d’abeille va être d’une couleur dorée et composé de rayons parallèles de cire tandis que celui d’une guêpe sera grisâtre et ressemblera à du papier mâché.

Même si un bourdon est trapu comme une abeille, on peut le différencier de celle-ci de par sa taille et le niveau sonore de son vol. Il mesure environ 22 mm et son vol est bruyant, contrairement à celui de l’abeille qui ne l’est quasiment pas.

Quels dangers peut représenter l'abeille domestique ?


Un risque sanitaire

Les abeilles européennes, tout comme les frelons européens ou les guêpes, possèdent un dard qu’elles utilisent en tant que forme de défense. Par nature, il ne s’agit pas d’une espèce dangereuse. L’abeille n’est pas un insecte agressif tant que l’on n’agresse pas sa ruche ou qu’on ne l’approche pas de trop près.

Elle peut vous piquer si elle sent que sa ruche est en danger ou si elle se retrouve coincée dans l’un de vos vêtements ou de vos cheveux. Dans certains cas particuliers lorsqu’il y a, par exemple, de fortes odeurs (parfums, transpiration et autres substances puissantes) ou de l’orage, la probabilité qu’elle devienne agressive est augmentée. Cependant, les piqûres d’abeilles restent majoritairement destinées aux apiculteurs (lorsqu’ils ouvrent brusquement une ruche, coincent une abeille dans leurs vêtements, si un nuage cache le soleil pendant leur travail ou encore si le vent refroidit l’essaim).

Contrairement aux idées reçues, une abeille ne meurt pas toujours après avoir piqué un humain. Si son dard et son venin peuvent effectivement s’arracher quand elle pique et donc entrainer sa mort,  il arrive qu’ils se désharponnent seulement, de telle sorte que l’abeille pourra piquer et repartir vivante.

La piqûre d’abeille n’est pas mortelle bien qu’elle puisse être douloureuse. Sa dangerosité va surtout dépendre de l’état de santé de la personne, de ses allergies, du nombre de piqûres infligées ainsi que de leur localisation (les piqures dans la bouche ou dans la gorge et sur les muqueuses peuvent être plus inquiétantes).

Les premiers réflexes à avoir suite à une piqûre d’abeilles sont les suivants :

  • Retirer le dard sans presser la poche à venin. Vous pouvez le faire à l’aide d’un ongle, d’une carte bancaire, d’une lame au ras de la peau, d’une pince à épiler ou d’un autre instrument de ce type. La chaleur de la flamme d’un briquet est également efficace pour détruire le venin (méfiez-vous des brûlures toutefois).
  • Désinfecter la piqûre et appliquer une crème anti-inflammatoire si besoin.
  • En cas d’attaque aux mains ou aux doigts, enlever tous vos bijoux (bagues, bracelets, montres) afin d’éviter tout potentiel œdème.

Attention : Placer un glaçon sur la piqûre n’aura aucun effet et pourra, au contraire, permettre la conservation du venin.

Pour soulager la douleur, plusieurs techniques sont possibles :

  • Appliquer une compresse froide.
  • Prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène.
  • Utiliser des comprimés antihistaminiques pour réduire le gonflement autour de la piqûre.
  • Les remèdes de grands-mères contre l’inflammation  à appliquer sur la piqûre de manière généreuse : le vinaigre de cidre, le jus d’oignon, le bicarbonate de soude, la moutarde, le miel, le dentifrice, un sac de glace, du sel d’Epsom, l’aloé Véra, la feuille de bananier, le persil, le basilic, la papaye, etc.

Dans le cas d’une allergie, une anaphylaxie ou un œdème de Quincke peuvent se produire, ceux-ci étant potentiellement mortels mais restent rares. En effet, seul 2% de la population est allergique aux piqûres d’hyménoptères. Certains signes peuvent alors vous alerter :

  • Difficulté à respirer ;
  • Respiration sifflante ;
  • Vomissements ;
  • Des nausées ou des diarrhées ;
  • Sensation de faiblesse ou étourdissement ;
  • Gonflement du visage ou de la bouche ;
  • Problèmes de déglutition.

Si l’un de ces signes apparaît à la suite d’une piqûre, il est impératif d’appeler les secours.

Nos solutions pour l'abeille.


Mesures de prévention

Afin d’éviter de vous faire piquer par des abeilles domestiques, nous vous recommandons de suivre ces quelques consignes de prévention :

  • Rester calme. Si vous passez à proximité d’une ruche d’abeilles, ne paniquez pas et éloignez-vous sans faire de gestes brusques et sans crier. N’agitez pas non plus vos bras pour chasser les insectes car ils risqueraient de devenir agressifs et de vous piquer.
  • Rester éloigné des ruches. Votre présence pourrait être perçue comme une agression auprès des abeilles gardiennes.
  • Ne pas se promener pieds nus dans l’herbe.
  • Couvrir la nourriture et les boissons sucrées. Lorsque vous mangez dehors, ne laissez pas de nourriture ou de boissons type sodas, à découvert car cela pourrait les attirer. Soyez également vigilants lorsque vous buvez notamment dans une canette, vous risqueriez une piqûre de la gorge si l’insecte s’est glissé dans votre boisson. Vous pouvez utiliser des torchons ou du papier aluminium pour protéger votre repas.
  • Faire votre toilette après manger. Afin d’éviter d’attirer les insectes avec des substances sucrées, rincez-vous les mains et le visage après avoir mangé.
  • Ne pas porter de vêtements aux couleurs trop vives ou trop amples notamment ceux pouvant ressembler à des fleurs (motifs floraux) car les abeilles pourraient se coincer dedans.
  • Eviter les substances chimiques (parfums, sprays, laques, shampooings, etc). Ces éléments ont l’inconvénient d’attirer les abeilles.
  • Eteindre la lumière. Les abeilles sont attirées par la lumière. Si vous souhaitez en faire sortir une d’une pièce, il vous suffit d’éteindre la lumière et de l’allumer à l’extérieur de votre maison.

 

Solutions

Si vous détectez un essaim d’abeilles ou un nid d’abeilles qui vous pose problème, ne le détruisez pas. Contactez-nous, faites appel à un apiculteur à proximité de chez vous ou au service en charge de la protection de l’environnement de votre ville. Ils sauront quelles mesures adopter afin de déplacer le nid sans danger.

Engageons-nous.

Sollicitez nos services éco-responsables et résolvez votre problème tout en contribuant à la préservation de cette espèce en danger.

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